Opération sablage

j'appelle volontairement cette partie de la restauration "opération", parceque ce n'était pas la tempête du désert mais ...

Pour réaliser cette étape je comptais utiliser mon compresseur et le pistolet d'un ami. Déjà là cela commençait très mal, j'avais l'impression de ne rien faire. Le sable partait mais la crasse elle restait. Le prix du sable ce n'est pas grave, mais faire du boulot qui ne ressemble à rien me gave ...

Aux grand maux les grands remèdes. Je loue une sableuse de pro et un compresseur de chantier. Cette fois je vois ce que je fais, quoique.

 

Faire le dessous de la caisse même avec l'harnachement c'est un calvaire je ne vois plus rien tant il y a de la poussière!.

Entre temps un joint lâche sur la sableuse. Il faut que je remonte à Langres. Bilan 2 heures de perdues.

Le résultat final me convient, là c'est du beau travail .

Il ne reste qu'a nettoyer l'atelier et là , malgré les protections que j'avais pu mettre il y a du boulot. 2 jours pour que l'atelier soit à peu près nickel

mais c'est la fin de la galère, du moins je le croyais ...

Après avoir tout installé, en avant marche , la face avant revient bien , les intérieurs d'ailes également

Le compartiment moteur est nickel

En fait j'ai fait les endroits les plus attaqués, ou les moins accessibles.

Brouette , balai, pelle, et adieu poussière. Je peux vous assurer que c'est beaucoup plus facile à écrire qu'à faire. 200 kg de sable qui coule comme de l'eau à remonter de la fosse, c'est fastidieux croyez moi .

la morale de cette histoire est que je vous conseille de faire dehors au milieu d'un pré.

 

J'ai même une autre solution ,mais je vous en parlerez plus loin dans l'aventure

la suite de cette restauration sera bien sur , la mise en peinture de l'intérieur

Peinture